Accepter le diagnostic

Min-Jung Kym, pianiste professionnelle, a connu à la fois la tumorectomie, la mastectomie, la chimiothérapie, la radiothérapie, et l’hormonothérapie.
Aujourd’hui en rémission, elle partage son expérience, la façon dont son art l’a aidé à mieux confronter cette maladie et lui a donné des clés pour agir sur les émotions, l’espoir et la confiance.
Découvrez cette expérience et laissez-vous porter aussi par l’impact de la musique
sur votre bien être.

Accepter le diagnostic

Min-Jung Kym, pianiste professionnelle, a connu à la fois la tumorectomie, la mastectomie, la chimiothérapie, la radiothérapie, et l’hormonothérapie.
Aujourd’hui en rémission, elle partage son expérience, la façon dont son art l’a aidé à mieux confronter cette maladie et lui a donné des clés pour agir sur les émotions, l’espoir et la confiance.
Découvrez cette expérience et laissez-vous porter aussi par l’impact de la musique
sur votre bien être.

Dans notre dernière vidéo, j’ai parlé du tumulte d’émotions que j’ai vécu lorsque les mots « vous avez un cancer » m’ont été prononcés. Je crois que la première réaction a été l’engourdissement.

Chacun a sa propre réaction et il est important de respecter cela. Quant à moi, j’avais besoin de temps pour digérer et accepter ce que signifiait un diagnostic de cancer. Dans le livre, je parle de cet Impromptu de Schubert.

Schubert vivait ses dernières années lorsqu’il a composé ce morceau et je ne peux m’empêcher de me penser qu’il a dû représenter pour lui une sorte de prière spirituelle. La mélodie est tellement simple mais tellement belle.  (C’est l’un des morceaux les plus lyriques que l’on puisse jouer au piano).

Les émotions grandissaient en moi en l’écoutant, mais aussi quand je le jouais pour moi-même.  Je n’éprouvais alors aucune tristesse, mais j’entrais dans une forme de contemplation ; réfléchissant à ce qui était en train de m’arriver, tentant d’accepter la maladie et de trouver un moyen d’avancer.

L’avantage de la musique c’est que vous n’avez pas besoin d’être mélomane pour en expérimenter les bienfaits et connaître les apports de la musicothérapie.
Je vous invite donc à écouter ce morceau avec moi.

Dans notre dernière vidéo, j’ai parlé du tumulte d’émotions que j’ai vécu lorsque les mots « vous avez un cancer » m’ont été prononcés. Je crois que la première réaction a été l’engourdissement.

Chacun a sa propre réaction et il est important de respecter cela. Quant à moi, j’avais besoin de temps pour digérer et accepter ce que signifiait un diagnostic de cancer. Dans le livre, je parle de cet Impromptu de Schubert.

Schubert vivait ses dernières années lorsqu’il a composé ce morceau et je ne peux m’empêcher de me penser qu’il a dû représenter pour lui une sorte de prière spirituelle. La mélodie est tellement simple mais tellement belle.  (C’est l’un des morceaux les plus lyriques que l’on puisse jouer au piano).

Les émotions grandissaient en moi en l’écoutant, mais aussi quand je le jouais pour moi-même.  Je n’éprouvais alors aucune tristesse, mais j’entrais dans une forme de contemplation ; réfléchissant à ce qui était en train de m’arriver, tentant d’accepter la maladie et de trouver un moyen d’avancer.

L’avantage de la musique c’est que vous n’avez pas besoin d’être mélomane pour en expérimenter les bienfaits et connaître les apports de la musicothérapie.
Je vous invite donc à écouter ce morceau avec moi.