Hommage aux infirmières

Min-Jung Kym, pianiste professionnelle, a connu à la fois la tumorectomie, la mastectomie, la chimiothérapie, la radiothérapie, et l’hormonothérapie.
Aujourd’hui en rémission, elle partage son expérience, la façon dont son art l’a aidé à mieux confronter cette maladie et lui a donné des clés pour agir sur les émotions, l’espoir et la confiance.
Découvrez cette expérience et laissez-vous porter aussi par l’impact de la musique
sur votre bien être.

Hommage aux infirmières

Min-Jung Kym, pianiste professionnelle, a connu à la fois la tumorectomie, la mastectomie, la chimiothérapie, la radiothérapie, et l’hormonothérapie.
Aujourd’hui en rémission, elle partage son expérience, la façon dont son art l’a aidé à mieux confronter cette maladie et lui a donné des clés pour agir sur les émotions, l’espoir et la confiance.
Découvrez cette expérience et laissez-vous porter aussi par l’impact de la musique
sur votre bien être.

J’adore danser, même si j’ai toujours pensé que je ne dansais pas bien et que les musiciens font de piètres danseurs.  Ils font trop attention à la musique et au rythme et cela finit par les inhiber.

Malgré cela, j’ai choisi de suivre l’atelier danse thérapie à l’Institut Rafael. « Don’t stop moving » est la devise que j’ai adoptée et je ne cessais de me la répéter. De nombreuses études ont confirmé que l’exercice pouvait aider à se sentir mieux pendant un traitement et après le cancer. Mon propre traitement m’a donné l’impression d’avoir un corps différent, mais grâce à une activité physique régulière, j’ai pu me sentir en responsabilité de mon corps et avoir l’impression de dominer autant que possible cet événement transformateur pour ma vie.

Associer le travail du corps avec la musique me parlait beaucoup et me semblait une aide précieuse pour lâcher prise.

Dans le « Alla Turque », Mozart recrée la fanfare d’un orchestre militaire turc. Cette pièce m’a permis de tout laisser derrière moi, de me libérer et de simplement danser.

L’avantage avec la musique, c’est que vous n’avez pas besoin d’être musicien ni de savoir jouer pour en expérimenter les bienfaits et connaître les apports de la musicothérapie.  Je vous invite donc à écouter ce morceau avec moi.

J’adore danser, même si j’ai toujours pensé que je ne dansais pas bien et que les musiciens font de piètres danseurs.  Ils font trop attention à la musique et au rythme et cela finit par les inhiber.

Malgré cela, j’ai choisi de suivre l’atelier danse thérapie à l’Institut Rafael. « Don’t stop moving » est la devise que j’ai adoptée et je ne cessais de me la répéter. De nombreuses études ont confirmé que l’exercice pouvait aider à se sentir mieux pendant un traitement et après le cancer. Mon propre traitement m’a donné l’impression d’avoir un corps différent, mais grâce à une activité physique régulière, j’ai pu me sentir en responsabilité de mon corps et avoir l’impression de dominer autant que possible cet événement transformateur pour ma vie.

Associer le travail du corps avec la musique me parlait beaucoup et me semblait une aide précieuse pour lâcher prise.

Dans le « Alla Turque », Mozart recrée la fanfare d’un orchestre militaire turc. Cette pièce m’a permis de tout laisser derrière moi, de me libérer et de simplement danser.

L’avantage avec la musique, c’est que vous n’avez pas besoin d’être musicien ni de savoir jouer pour en expérimenter les bienfaits et connaître les apports de la musicothérapie.  Je vous invite donc à écouter ce morceau avec moi.